Qu’on l’appelle « ambiance thermique » ou « microclimat », la qualité de l’air au bureau, comme l’aménagement des espaces de travail ou du temps de travail, doit faire l’objet de toutes les attentions. C’est une problématique très importante, aussi bien du point de vue de la santé des salariés que de l’environnement.
Un cadre de travail agréable et un environnement optimal contribuent au bien-être des employés et joue de façon positive sur la motivation, la performance et la santé.
Or, le climat ambiant du bureau, la bonne qualité de l’air, la température adéquate et l’aération influent sur les ressentis des salariés.
Selon l’Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur – OQAI – l’air intérieur que nous respirons dans nos lieux de travail est de 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur.
Or, nous passons presque 80% dans des milieux confinés (habitation, transport) dont 7 à10 heures au travail ! Solutionner cette problématique est fondamentale, notamment pour la santé.
Les sources de pollution de l’air ambiant au travail sont très variées et sont plus ou moins importantes selon les espaces et les saisons. Les concentrations des polluants sont souvent plus élevées en hiver.
Les polluants peuvent être de nature biologique, chimique ou physique.
Les Composés d’Organiques Volatils – COV – sont des polluants les plus présents dans nos intérieurs car leurs sources sont multiples. Ces composés se diffusent progressivement dans l’air et atteignent rapidement des concentrations non négligeables.
Parmi ces COV, on trouve le formaldéhyde. Ce polluant cancérigène est présent dans de nombreux produits du quotidien.
On les trouve, entre autres au bureau via l’évaporation des solvants contenus dans :
Dans les produits d’entretien on retrouve des COV de type alcool, terpènes, cétones,…
La peinture biosourcée Colibri ne rejette pas de COV (0.01g/l), donc pas de formaldéhyde, dans l’air ambiant : elle n’est pas composée d’agents provenant de la pétrochimie mais de résine d’origine végétale.
Dans sa version biosourcée et dépolluante, la peinture Colibri a une action assainissante : le formaldéhyde est capté par des nanocapteurs et rendu inerte ; un air purifié est rejeté dans le bureau peint.
Pour en savoir plus, notre fiche "La peinture dépolluante Colibri : améliore la qualité de l'air intérieur des espaces de travail"
Les polluants de nature physique concernent les particules en suspension dans l’air : elles sont transfèrées depuis l’extérieur (pollution automobile par exemple) ou sont émises par combustion (tabac, chauffage, parfums d’ambiance, …)
Les polluants de nature biologiques se trouvent, par exemple, dans les moisissures, pollens, bactéries, virus. Ils se développent dans les murs, moquettes, sanitaires, circuit d’eau,…
Le renouvellement de l’air est important : les espaces de travail doivent être aérés 10 à 15 minutes par jour, 2 fois par jour, quel que soit la température extérieure.
Equiper les locaux professionnels d’équipements de conditionnement de l’air et de VMC permet d’évacuer l’air pollué et de faire rentrer de l’air plus frais. Leur entretien ne doit pas être négligé.
Consulter l’étiquette « Emission dans l’air intérieur » sur les emballages. Elle indique le niveau d’émission en COV : de A+ (émissions faibles) à C (émissions fortes).
Préférer les produits limitant leurs impacts sur l’environnement.
La peinture Colibri est étiquetée A+. Comme elle est conçue à partir de résine d’origine végétale à 95% biosourcée, elle ne contient pas et ne rejette pas de COV.
Cette peinture est écoresponsable : sa composition naturelle a un impact positif sur l’environnement (pas de pétrochimie et résine provenant de matières premières renouvelables)
Bannir l’utilisation de produits chimiques et des parfums d’ambiance. Préférer les produits naturels et sans parfums ou le nettoyage à la vapeur.
Il faut maintenir un taux d’humidité compris entre 40 et 60% et une température entre 18 et 22°C. Les moisissures sont néfastes pour la santé.
Aménager les bureaux avec des meublants certifiés sans COV.
Certaines plantes aident à la dépollution intérieure et ont une influence positive sur l’humeur des salariés.
Il existe des locations de bureaux qui possèdent une certification environnementale.
L’air intérieur peut provoquer des ennuis de santé aux collaborateurs.
De maux de têtes aux inflammations respiratoires, les risques sur la santé sont élevés : des rhinites ou des sinusites voire de la fatigue chroniques, des irritations de la peau, des troubles du sommeil, …
Le formaldéhyde est un polluant cancérigène.
La législation du travail est très ferme sur le sujet de la qualité de l’air dans les espaces de travail.
Consulter les Articles du Code du Travail : R4222-1 à R4222-6 et suivants.
En plus d’être en conformité avec la politique de Responsabilité Sociale des Entreprises - RSE –, se soucier de la qualité de l’air intérieur dans les espaces de travail c’est optimiser l’environnement de travail et agir de manière positive sur la Qualité de Vie au Travail - QVT… qui elle-même agit sur les performances et la productivité des collaborateurs et donc sur les résultats de l’entreprise.
Une amélioration de la qualité de l’air intérieur s’accompagne d’une :
Vous savez ce qu’il vous reste à faire si vous souhaitez, enfin, respirer un air sain au bureau !
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